Un vendredi soir sur Paris. Que faire? Pendant que d'autres ont couru voir le couple star du R'N'B (pour ne pas les nommer Jay Z et Beyoncé) pour avoir du rêve à l'américaine, j'ai pris un ticket pour le paradis.
Direction le Sunset. Descendre 10 marches. Une cave et vous y êtes.
Direction le Sunset. Descendre 10 marches. Une cave et vous y êtes.
Ici pas de vidéoclips, pas de playback, rien que du son et de l'authentique.
3 musiciens sur scène, une formation minimaliste: un guitariste Massimo Giangrande, un contrebassiste Mattéo Pezzolet et Awa Ly. J'appelle ça un concert comme à la maison.
Si Awa Ly était un vin, je dirais que sa robe est de grenat, ses arômes de noisettes, un soupçon d'épices et qu'il respire la générosité.
Fermez les yeux légèrement. La voix d'Awa nous invite au voyage. Un voyage dans le monde du blues, du jazz et de la folk. Elle nous vient de France, du Sénégal et a posé ses valises en Italie.
Ma chanson préférée est Doum doum doum, d'une douceur incroyable pour une chanson de rupture.
La guitare acoustique de Massimo et la contrebasse de Mattéo créent un écrin parfait pour sublimer la voix groovy d'Awa.
C'est dans une salle comble qu'Awa invite Régis Kolé à venir réinterpréter "Être né quelque part" de Maxime Le Forestier. La magie continue d'opérer. Deux belles âmes qui donnent envie de partager. (Celui-ci va bientôt être sur scène :-) et sur son prochain disque on y retrouvera Manu Dibango et Lokua Kenza!!!!)
Car c'est vraiment sur le thème du partage que le concert d'Awa Ly s'est clôturé: sans barrières, avec une sincérité rare, et un plaisir visible d'être sur scène, Awa m'a enchantée.
Alors si comme moi, vous voulez faire partie du voyage:
Rendez-vous au Sunset le 7 novembre prochain!!!
Rendez-vous au Sunset le 7 novembre prochain!!!
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